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bluray2012

2012

Maya, Maya l'abeille...

Les Mayas, l’une des plus fascinantes civilisations que la Terre ait portées, nous ont transmis une prophétie : leur calendrier prend fin en 2012, et notre monde aussi. Depuis, les astrologues l’ont confirmé, les numérologues l’ont prédit, les géophysiciens trouvent cela dangereusement plausible, et même les experts scientifiques gouvernementaux finissent par arriver à cette terrifiante conclusion.
La prophétie maya a été examinée, discutée, minutieusement analysée. En 2012, nous saurons tous si elle est vraie, mais quelques-uns auront été prévenus depuis longtemps…
Lorsque les plaques tectoniques se mettent à glisser, provoquant de multiples séismes et détruisant Los Angeles au passage, Jackson Curtis, romancier, et sa famille se jettent à corps perdu, comme des millions d’individus, dans un voyage désespéré. Tous ne pourront pas être sauvés…

Comme disait le prophète dans Tintin et l’île mystérieuse : « Ding ! Ding ! La fin du monde ! »
En route pour un film pop-corn et grand public. Je l’aborderais donc sous cet angle là. C’est d’ailleurs pour ça que je l’ai pris. Pour le regarder les fesses sur le canapé en mangeant asiatique. Histoire de relativiser le côté américain de la chose.
Ici pas de massacre façon Ordre du Temple Solaire ou autre secte obscure millénariste. Juste du grand spectacle pour qui veut ouvrir grand les yeux et se détendre. On croisera John « Sosie d’Edward Norton » Cusak et Woody Harrelson qui essaieront d’échapper à la fiiiiiiiiiiinnnnn du mooooooooonnnnnnnddddddddeeee. Enfin surtout la fin des USA. Bref.
Tout est sujet à effets spéciaux et de ce côté là… Wahou ! Voir une ville entière se soulever, tomber en ruine et glisser dans l’océan, c’est énorme. On ne s’ennuie pas un instant durant les 2h38 du film. Ca pète dans tous les sens. Les effets spéciaux sont tout simplement monstrueux.
L’histoire est néanmoins basique, mais permet de suivre le film sans avoir besoin de faire pause en se demandant kicédoukisorilafékoi. Ca faisait un petit moment qu’on avait pas vu de film aussi reposant.

A conseiller en temps que film pop-corn du samedi soir !

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