Midnight Meat Train
Midnight Meat Train
Leon Kaufman a révélé son talent de photographe à travers des clichés hautement provocants. Décidé à créer l’événement pour sa prochaine exposition, il est prêt à aller encore plus loin dans l’exploration des aspects les plus sombres de l’humanité. Ce qui va le conduire sur les traces d’un tueur en série, Mahogany, qui traque les voyageurs empruntant le dernier métro avant de les tuer avec une sauvagerie inimaginable. Sans le vouloir, il entraîne sa petite amie, Maya, avec lui. Chaque ticket est peut-être un aller simple vers la mort.
Après Planète terreur, précédemment évoqué, nous revoilà reparti pour une plongée dans l’horreur. Par contre là, je savais que ça allais tabasser un max. Et je n’ai pas été déçu !
C’est un pur film qu’on qualifiera d’épouvante. Pour faire simple. Notre boucher s’en donne à coeur joie dans le métro, Ted Raimi en fera même l’amer et ultime expérience à grand renforts de CGI dans une séquence hallucinante où un coup de marteau bien placé lui fera voler les globes oculaires dans le couloir de la rame de métro. Pfiou.
Dans ce film tout vole : le sang, les bras, les jambes, les yeux, les boyaux. C’est bien simple, on se croirait devant une dissection d’une grenouille. Un des challenge du film devait être d’égaler Braindead en terme de sang répandu. Je pense qu’on s’est rapproché du record.
On reste scotché du début à la fin avec l’envie d’en savoir plus : qui est ce mystérieux tueur, pourquoi fait-il ça. Heureusement toutes les réponses sont apportées dans un final tip top.
L’image est de bonne qualité avec un grain assez marqué mais qui renforce le côté glauque de l’image. La piste sonore en DTS-HD ne donne pas dans la demie mesure et le passage du métro fait vrombir les enceintes ainsi que le caisson de basses. Pour une fois j’ai renoncé à jouer de la télécommande afin de profiter du spectacle.
Au final, ce film est une pure tuerie dans tous les sens du terme !
Le trailer
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