Brian mène une existence sans histoire jusqu’au jour où il fait la connaissance d’Elmer, une mystérieuse créature. Elmer a la capacité d’injecter dans votre cerveau une drogue puissante, dont, très vite, on ne peut plus se passer. Jeune et influençable, Brian devient totalement dépendant d’Elmer. Mais il y a un prix à payer : pour vivre, la créature a besoin de dévorer des cerveaux humains, et Brian devra lui fournir ses futures victimes. Impossible de refuser : la créature cesserait alors ses injections, et nul ne peut supporter les terribles crises de manque occasionnées par l’absence de drogue d’Elmer…
Et voici que débarque un autre film estampillé Mar Movies. Donc forcément loin des standards habituels du blockbuster.
Cette fois nous sommes embarqué dans l’histoire d’un aylmer appelé Elmer. Oui. Comme dans Bugs Bunny.
Finalement, aucun air de famille. Notre E(ay)lmer à nous ne chasse pas le lapin, mais le cerveau humain. C’est son trip.
Et forcément ses victimes attrapent un bon mal de crâne lorsqu’il leur tombe dessus, mais ce n’est pas trop gênant étant donné qu’elles ne se réveillent jamais.
Elmer forme un duo improbable avec Brian, anagramme de brain, comme l’avait souligné Marc Toullec dans Mad et que j’avais remarqué (Na !). Brian devient donc le véhicule et le complice passif des crimes commis par Elmer. Lui non plus ne se souvient de rien en raison de la drogue que lui administre Elmer pour prendre le contrôle de son corps.
Au final on assiste à un bon petit film mi fantastique mi gore, avec des scènes de crimes hilarantes. Je m’imaginais le technicien dans les WC qui faisait tournoyer un tuyau pour simuler le jet lié au meurtre… On le regarde gentiment sans s’ennuyer et c’est bien tout ce qu’on lui demande !
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