The vampire lovers
The vampire lovers
D’une beauté envoûtante, la Comtesse Karnstein trouve prétexte, lors d’un bal donné par le Général von Spielsdorf, de l’agonie d’un ami pour confier sa fille Marcilla à son hôte. Une ruse car la Comtesse et Marcilla ne sont qu’une seule et mêm personne, une vampire qui, plus encore que les hommes, séduit les femmes pour les mordre et les garder sous son emprise, aptes à assouvir ses désirs. Mais, sur son parcours jalonné de cadavres, la Comtesse voit soudain se dresser deux obstacles, le Général von Spielsdorf et le Baron von Hartog, l’un déterminé à venger sa fille, l’autre sa soeur…
Voilà le dernier DVD inclus dans Mad Movies. Je ferais l’impasse sur le côté sonore et image étant donné qu’on a à faire film de la Hammer de 1970.
Alors on nous l’annonce comme sexy, gothique et sulfureux. Sulfureux, sûrement à l’époque, mais maintenant… Après Basic instinct ou Baise moi, beaucoup moins.
Il n’en reste pas moins qu’Ingrid Pitt est sacrément mignonne. Didiou…
Mais revenons au film !
Le pitch est assez original puisque qu’une vampire s’attaque aux femmes et uniquement aux femmes. Lesbien normal ?
Peu de victimes dans les rangs des hommes, sauf à vouloir contrarier la madame. En même temps elle a deux arguments pointant le bout de leur nez qui coupent court à toute discussion. Je parle de ses dents, bien sûr. La féline exhibe ses canines et calme tout le monde.
On retrouve l’éternel Peter Cushing dans le rôle d’un général qui va faire la peau à cette suceuse de sang. Elle l’aura mérité.
Le film se regarde sans peine bien qu’il soit uniquement en VOST. Les dialogues sont assez basiques et en plus j’ai appris pleins de mots comme un « linceuil », a shroud. Pas sûr que j’arrive à le caser dans une discussion. Du moins avec des êtres humains normaux.
Un bon petit film de vampire pas trop violent ni gore qui se regarde avec plaisir et au cachet typiquement 70’s.
Un seul gros regret : quand on lit le résumé, on arrive quasiment à la fin du film. J’aime ce genre de résumé au dos de la jaquette. Au moins, on sait où on met les pieds…
En bonus, le trailer en VO. Et en plus il spoile à mort, en gros si vous le regardez, ça fait comme le résumé : vous connaissez les grands moments et la fin du film. Je vous aurais prévenu !
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